The pink-haired boy - COMPLETE

Hiruzen est un être qui possède le coeur sur la main. De toutes les personnes que vous serez amené à croiser, il sera sûrement l'une des sympathiques. Il est celui qui est prêt à rendre service à toute moment. Lorsqu'il apprécie quelqu'un, il aime toujours sans compter, mais il en fait parfois un peu trop. Il fait le plus souvent des choses pour autrui au détriment de sa propre personne; c'est à dire que le bien être de ses amis passe avant le sien. C'est d'ailleurs ce que ses amis les plus proches lui reprochent souvent. Mais vous savez ce qu'on dit ... On ne change pas un homme.

Au-delà de son extraordinaire gentillesse, il possède un sens aïgu de la justice. Vous pouvez le voir comme un fervant défenseur de la veuve et l'orphelin. Dans certaines villes, on le surnommait le " Vengeur rose ". Sympa, non ? Sa définition de la justice reste des plus traditionnelles. La justice, selon lui, passe par la sauvegarde de la paix, et par la condamnation de ce qui menace l'ordre public. C'est ainsi qu'il ne manque jamais une occasion d'aller casser la figure aux méchants si besoin est. Et ça paye. Tiens justement. Venons en à un point : la violence. Hiruzen n'est pas de ceux qui fanfaronnent à dire que la violence ne résoudra jamais rien, qu'il faut user de la diplomatie, et patati, et patata ... Il est bien conscient que dans le monde dans lequel nous évoluons, et avec les individus dangereux qui prolifèrent de plus en plus, il devient quasiment indispensable de se battre. Bien que les combats ne le dérangent pas, il a parfois du mal à aller jusqu'à tuer son adversaire. Hiruzen fait preuve de ce qu'on appelle la compassion. Jusqu'à présent, sa capacité à juger les gens ne lui a jamais fait faux bond. Espérons qu'il en restera ainsi ...

Hiruzen n'est pas quelqu'un de particulièrement imposant physiquement; ce qui pousse parfois ses ennemis à le sous-estimer. C'est un jeune homme plutôt grand du haut de ses un mètre soixante-seize, avec un poids tournant autour des 75-80 kilos. On peut s'apercevoir en l'observant qu'il semble posséder une bonne condition physique, sa musculature n'étant pas inexistante. En effet, il sait que l'on a beau avoir toute la volonté que l'on veut, si l'on est pas fort, on ne prouvera pas grand chose. Et bien oui, n'est pas justicier seulement celui qui veut. C'est un réel travail d'entretien physique ! Hiruzen privilégie le combat au corps à corps qui reste sa spécialité, et dans un souci d'efficacité, il combine celle-ci avec sa maîtrise de la magie, donnant à ses coups encore plus d'impact !

C'est aussi un être qui possède quelque chose de spécial. Il a ce don de rassurer autrui rien que par sa présence. Sa bonne humeur, sa joie de vivre, sa détermination, tout ce qui ressort de positif de chez lui se révèle être communicatif de bonnes ondes vers les personnes qui l'entourent. D'un côté, on appréciera son côté décontracté, son côté qui le pousse à profiter des petits plaisirs de la vie, et d'un autre, à savoir prendre les choses avec sérieux quand il le faut. On le voit beaucoup comme quelqu'un sur qui on peut compter, car même s'il aime s'amuser, il garde toujours le sens des priorités.

Jusqu'ici, Hiruzen ne parait pas avoir de problème au niveau relationnel, il crée des liens très rapidement avec autrui, et la majorité de ces personnes ont l'air d'apprécier sa compagnie. Mais ... parlons de la gentre féminine. En effet, il est naturel pour un jeune homme célibataire d'être attiré par des jeunes filles de son âge et d'avoir envie de se " caser ". Mais ce n'est pas chose facile pour notre héros à vrai dire. A chaque fois qu'il sera en contact, même visuel avec une personne du sexe opposé, il sera en proie à des maux d'estomac terriblement douloureux et difficile à supporter. Et bon, comme un homme sur deux est une femme dans le monde, ce n'est pas affaire aisée tout les jours ... C'est pour cette raison qu'il tentera de les éviter au maximum, dans la mesure du possible. On ne connaît pas l'origine de ce mal aise malheureusement, mais cela doit probablement remonter à son enfance. A préciser : L'intensité des maux d'estomac varie en fonction de la distance qui sépare Hiruzen et le public féminin.

Son histoire débute à Magnolia, grande ville marchande du Royaume de Fiore. Les parents d'Hiruzen étaient propriétaires d'une petite épicerie bien connue dans le quartier. Il n'a presque jamais manqué de rien car le plus important lui avait déjà été donné : l'amour de ses parents. C'était leur fils unique, alors bien sûr, toute leur atention était portée sur Hiruzen. Il allait à l'école, bénéficiant donc d'une bonne éducation, et respectait les valeurs et les enseignements de ses parents également. En quelques mots, il faisait la fierté de ces-derniers. Malheureusement, la tournure que prirent les choses n'est pas aussi belle que le début de cette histoire. Les parents du jeune garçon étaient forts agés. En effet, ils furent de ceux qui décidèrent de faire un enfant dans la cinquantaine. Résultat, alors qu'Hiruzen approchait de sa quinzième année, eux, ne tenaient presque plus correctement debout, du haut de leur 75 ans et +. Hiruzen était celui qui devait hériter de la boutique, ses parents l'avaient déjà décidé. Il arriva un jour, où manifestement, la vie de ses parents prenait fin. Une terrible nouvelle pour un gamin de quinze ans, tout de même. Et puis franchement, qui reprend une épicerie à quinze ans ? Apparemment, ses parents comptaient tenir encore cinq ans avant de passer l'arme à gauche ... A la fin de sa quinzième année, Hiruzen se retrouva sans parents, les clés d'une épicerie dans la main et un héritage financier, même si modeste.

Tout le monde pleurait autour de lui, chaque habitant de Magnolia, ou du moins pour la plupart s'étant attaché à cet homme et cette femme qui avaient si bon coeur. Bien sûr, on vint voir Hiruzen pour lui proposer soutien, hébergement, assistance, en échange de travaux de toute sorte. Ce qui était le plus étrange dans cette histoire, c'était qu'aucun des deux parents n'avait prévu de solution de secours pour leur enfant alors qu'il savaient très bien qu'ils pouvaient mourir à tout moment. Hiruzen n'en tenu pas rigueur, pensant que ses parents lui avaient donné suffisamment tout au long de son enfance, et que c'était maintenant à lui d'utiliser ce qu'on lui avait appris pour s'en sortir ! Ce fut le commencement d'une nouvelle vie. Jusqu'à ses dix-huit ans, il passait de foyer en foyer et en échange d'un travail quotidien, il était nourri, logé, et en bonne santé. Sans la très bonne réputation de ses parents, tout ceci n'aurait peut être pas été possible. Par souci de respect envers les villageois qui l'accueillirent si gentiment, il décida qu'il était temps de voler de ses propres ailes, et de ne plus dépendre d'autrui. Hiruzen n'avait pas tenu à garder l'épicerie qui avait été condamnée pendant cette durée de trois ans. Ce n'était pas une vie de commercant qu'il voulait mener, loin de là ... Il rêvait plutôt d'aventures et de voyages. Il fut longtemps bercé par ces histoires de mages qu'on raconte dans les livres. A ses yeux, un mage ne devait pas être quelqu'un qui vivait d'une façon ordinaire. Non, un mage devait sans doute vivre des aventures quotidiennement, risquant sa vie pour défendre ce en quoi il croit ! C'est en voulant devenir Mage qu'il peut s'exercer à en avoir plus ou moins l'étoffe. Il s'entraîna d'arrache-pied jusqu'à ses vingt ans, voyageant parfois à l'extérieur de Magnolia pour rencontrer d'autres Mages et apprendre de ses rencontres. Le voyage forgea son indépendance, car il dût se débrouiller seul pour survivre, allant même jusqu'à prendre des petits boulots de passage. A vingt ans, il revint dans sa ville natale, pour concrétiser un projet bien particulier.

Fairy Tail ... Une guilde parmi les plus puissantes, si ce n'était pas la plus puissante. Tout le monde connaissait cette confrérie de mages, la réputation de celle-ci la suivant de très près. Hiruzen ne connaissait personne de cette guilde, et d'ailleurs, peu était le nombre de gens au courant de l'identité des mages. Notre jeune héros n'était pas de ceux qui souhaitait faire cavalier seul; il préférait largement la compagnie d'autrui, car il aimait la convivialité que respirait l'image d'une guilde comme Fairy Tail.
A sa grande surprise, lorsqu'il se proposa pour en faire parti, on l'accueilla à bras ouverts, comme si les portes lui avaient toujours été ouvertes. Tout ces gens nouveaux, et tant de choses à découvrir. Après quelques mises à l'épreuve lors de missions tout à fait abordables, Hiruzen fut retenu dans la troupe de joyeux lurons qu'était Fairy Tail. Il y avait des hommes, et des ... femmes. Et Merde ...